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Alexia en mission
Chapitre 6 : Prise de fonction
Alexia abandonna Pauline le midi pour rentrer chez elle. Elle était trop impatiente pour attendre la fin d'après-midi.
Elle voulait rejoindre Interpol au plus vite. De plus, elle se méfiait de Pauline. Elle l'avait quand même sodomisée en plein cours
avec sa bouteille de déo alors le midi, cela risquait d'etre encore pire.
Une fois chez elle, elle nettoya l'écuelle de café resté au sol et balaya les miettes du petit-déjeuner éparpillées dans son petit logement.
Elle fit son lit, génée en repensant à elle attachée et fessée par sa mère la veille puis aux activités sexuelles de ses parents alors
qu'elle était au coin. Il fallait à tout prix qu'elle fasse une lessive en rentrant ce soir ! Pas question de dormir là-dedans !
Se ravisant donc, elle défit sa housse de couette et ses draps pour en faire un petit paquet pour aller à la laverie dès son retour.
Le sexe, c'est bien mais il y a quelques petits inconvénients !
Elle se dénuda, admirant ses petits seins ronds dans la glace, jouant un peu avec ses tétons puis examina ses fesses.
Elles étaient encore rouges, un peu marquées mais cela allait, d'ici peu, plus rien ne serait visible. Cela la rassura.
La douleur anale étant toujours très présente, elle se mit à 4 pattes près de son miroir et examina ainsi son sphincter.
La position manquait d'élégance mais pour examiner soi-même son cul, il n'existe pas beaucoup de possibilités élégantes.
Elle passa son doigt sur son anus, le massa un peu en grimaçant, essayant de le détendre. Il s'ouvrit un peu et après l'avoir bien
examiné, elle déclara que tout allait bien !
Totalement rassurée, Alexia se releva pour aller prendre une bonne douche. Pas question de commencer son travail sans etre bien fraiche !
Pour une fois, elle ne se laissa pas emporter par ses fantasmes. C'est fou pensait elle, je suis saturée de sexe ou quoi ?
Ou trop stressée par ce nouveau job ! L'eau coulait sur son corps en petites rivières, le long des jolies pommes de sa poitrine, rivières
qui formaient un petit fleuve sur son pubis ou dans le creux de ses reins.
Elle remua ses petites fesses rondes pour s'ouvrir au jet, profitant de la caresse qu'elle sentait relaxante au lieu d'excitante.
Elle s'enroula finalement dans un doux et épais drap de bain, se séchant avec douceur avant de rejoindre sa chambre.
Elle extirpa son uniforme du carton. Le grand moment était arrivé ! Enfin !
Elle enfila des dessous mignons et confortables, qui ne feraient pas de marques sous l'uniforme, roses avec un motif fleuri, en coton.
Puis elle se glissa dans le pantalon qui semblait fait sur mesure pour elle sauf sur un point. Ils devaient la croire plus grande
qu'elle n'était ! Elle allait devoir mettre de hauts talons pour ne pas qu'il traine sur le sol.
Il fallait qu'elle aborde ce point avec son futur supérieur.
Elle enfila la veste qui s'ajustait bien à elle. Après examen, un peu trop bien même. Sa poitrine était un peu trop moulée. Elle opta pour
dégrafer les deux derniers boutons pour se sentir plus à l'aise. Cela lui faisait un beau décolleté qui ne devait pas etre réglementaire.
Elle enfila enfin la ceinture avec la matraque et la housse pour les menottes. Elle regrettait de ne pas avoir de pistolet. Cela
aurait été du plus bel effet !
Elle prit enfin le porte carte, toute fière de sa carte officielle puis son contrat de travail. Elle allait devenir quelqu'un d'important !
Un membre d'interpol, cela jette !
Si seulement cela pouvait l'aider à gérer le bazar de sa vie privée ! Entre ses parents et Pauline, elle ne contrôlait plus rien de sa vie!
Et tout cela à cause des menottes et de la matraque ! Prise d'un doute elle sortit sa matraque pour la porter à son nez, à la recherche
d'une odeur suspecte. Cela sentait le caoutchouc mais elle avait l'impression de sentir aussi une légère odeur d'excrément dessus.
Cela devait venir d'elle, elle savait d'où sortait la matraque. Dans le doute, elle prit son vaporisateur de parfum et aspergea la matraque
avant de se parfumer elle-même.
Elle se coiffa enfin de la casquette et partit direction le commissariat central.
Le temps était agréable et elle se dit qu'elle allait bien profiter de sa promenade en uniforme jusque sa destination finale.
Elle marchait fièrement au début de son trajet, bien droite, sûre d'elle. Cependant, la multitude de regards se braquant sur sa poitrine
ou sur ses fesses commença à la géner de plus en plus. Ce qui est flatteur quand c'est fait discrètement, devient vite embarrassant
à grande échelle. Elle commença à pester contre son pantalon trop long qui la forçait à mettre des hauts talons, contre cette chemise
trop cintrée et moulante. Elle avait l'impression d'etre une pute en promenade quand elle arriva enfin au commissariat.
Elle franchit la porte avec soulagement, se demandant si elle pourrait bénéficier d'une voiture pour rentrer.
L'agitation l'a frappa aussitôt. La rue semblait bien calme par rapport à ce hall.
Elle vit le bureau d'accueil et essaya de s'en approcher. Les civils qui essayaient également de parvenir à cela, semblaient bien se
moquer du fait qu'elle porte un uniforme. Personne ne semblait décidé à la laisser passer prioritairement.
La femme chargé de l'accueil la jaugea du regard sans l'inviter non plus à doubler tout le monde et Alexia se résigna à faire la queue comme
tout le monde. Après un bon quart d'heure, elle accéda enfin au comptoir d'accueil.
- J'ai rendez-vous avec le commandant G.
- Connais pas ! Et vous aussi je ne vous connais pas !
- Je commence aujourd'hui, j'ai mon contrat avec moi.
- C'est ça oui ! Et vous avez cru bon de venir costumée ?
- Costumée ?
- Oui je n'ai pas de temps à passer avec de petites rigolotes comme vous ! C'est pour une caméra cachée ?
- Mais c'est mon uniforme !
- Mais oui c'est ça ! La couleur est trop claire, la veste cintrée au lieu d'etre droite, le pantalon moulant au lieu de flottant, et
pour couronner le tout, des hauts talons ! C'est pour tourner dans un film porno ? Vous ressemblez plus à une actrice qu'à un agent
comme cela. Pour le réalisme, il faudra revoir tout cela !
Alexia sentit son sang bouillir. Cela faisait deux fois en 24h qu'on l'assimilait à une actrice porno ! Cela commençait à bien faire !
Elle sortit son porte-carte qu'elle mit sechement sous le nez de son interlocutrice.
- Et ça ? C'est une fausse peut-etre !
L'agent examina la carte, la sortit de la pochette et l'examina dans tous les sens.
- Elle m'a l'air vraie !
- Donc je ne suis plus une actrice porno ?
- Non je vous prie de m'excuser Melle K.
- Et vous allez enfin appeler le commandant G. ?
- Oui oui toutes mes excuses Melle K.
Elle prit son téléphone et composa le numéro qu'elle semblait connaitre par coeur.
- Commandant G. ? J'ai quelqu'un pour vous à l'accueil. Oui c'est Melle K.. Bien Commandant G.
Un policier s'avança doublant tout le monde pour demander quelque chose à l'agent d'accueil. Elle lui fit signe de s'écarter.
- Inter ! dit-elle en désignant Alexia discrètement.
Le policer fit tout de suite un pas en arrière en bafouillant des excuses. Alexia se sentit mieux. Visiblement, cela avait des avantages
de travailler pour Interpol, cela en imposait et elle en était tres fière.
- Prenez l'escalier derrière moi, vous montrez votre carte à l'agent pour éviter toutes les formalités. C'est au dernier étage à droite.
Les noms sont sur les portes. Il me semble que c'est l'avant dernier bureau. Bonne journée Melle K..
- Bonne journée dit Alexia plus joviale.
Elle se dirigea d'un pas de nouveau assuré vers l'escalier, montrant sa carte pour passer sans contrôle aucun.
Elle rougit cependant en entendant quelques commentaires des femmes qu'elle croisa : Ils les engagent au berceau maintenant? On embauche
des putes de service ? Elle a eu son poste en couchant ! Celle-là elle est trop belle, elle va pas rester longtemps ici !
Tant qu'elle y est elle pourrait montrer son cul ! C'est quoi cette tenue ! Elle n'a pas eu le temps de changer de chaussures en rentrant
de son travail de nuit !
Son assurance s'envola de nouveau au fil de son cheminement jusqu'au dernier étage. Elle frappa enfin à la porte du commandant G..
- Entrez ! Bonjour Melle K.
- Bonjour Commandant G. ! Je ne vous dérange pas ?
- Je vous attendais ce soir mais ce n'est rien, nous pourrons déjeuner ensemble si vous voulez !
- J'ai amené mon contrat Commandant ! dit Alexia sans répondre à l'invitation, se souvenant du repas embarrassant de la veille.
- Les termes vous conviennent? Ainsi que le salaire ?
- Oui oui Commandant, je l'ai signé. Voici votre exemplaire !
- Hé bien vous faites officiellement partie de mon effectif maintenant agent K.
- oui Commandant et j'en suis fière.
- Mon Commandant !
- Pardon oui mon Commandant !
- Bien vous etes donc sous mon autorité !
- Oui mon Commandant !
- Jolie tenue tres sexy agent K. !
- Justement à ce sujet mon Commandant, le pantalon est trop long !
- Mais non ! Il tombe très bien !
- Je suis obligée de mettre des talons hauts !
- C'est pour cela qu'il est tres bien ! Cela t'habitue ! Tu dois rentrer dans la peau d'une pute !
- C'était voulu alors !
- Oui de même que ton haut cintré ! C'est pour que tu ne cherches pas à cacher tes seins !
- Vous etes un salaud !
- Non juste pragmatique agent K. ! Nous allons aborder ta mission !
- Volontiers !
Alexia sourit à l'idée, soulagée et angoissée malgré tout d'entrer enfin dans le vif du sujet.
- Baisse ton pantalon !
- Pardon ?
- Tu es une pute dans ta mission non?
- Oui mon Commandant mais quel est le rapport ?
- Tu seras amenée à montrer ton cul plus d'une fois au cours de ta mission ! Si un souteneur t'approche il voudra voir et palper !
Donc tu dois t'y habituer sinon cela lui paraitra suspect ! Donc montre ton cul !
- Oui mon Commandant
Alexia résignée dégrafa ceinture et pantalon et le baissa sur ses genoux. Elle se tourna enfin pour faire face à la porte.
- Je t'ai dit de montrer ton cul petite pute !
- Mais mon Commandant !
- Tu arretes de m'appeler ainsi ! Tu dis monsieur ! Si je dois intervenir dans la mission, je serai un client ! Là je suis un client
qui veut voir la marchandise avant de se décider !
- Mais vous aviez dit que vous enverriez des agents, que je ne serai pas obligée de passer à l'acte !
- C'est ce que je vais faire mais tu ne couperas pas malgré tout à l'exhibition de ton corps ! Un client qui ne veut pas voir ou tripoter
un peu avant, ce sera tout de suite anormal aux yeux de tes copines putains !
- Oui monsieur...
- J'attends toujours de voir ton cul ! C'est juste du travail, ce n'est pas personnel !
Alexia baissa sa culotte à regret sur ses genoux, dévoilant ses petites fesses rondes de toute beauté. Le commandant sentit aussitôt que son
pantalon etait devenu un peu étroit pour lui, bien qu'il fut tres habitué à voir des culs nus.
- C'est bien Alexia ! Quel va etre ton nom de pute au fait ? Autant que je t'habitue à ton nom aussi !
Alexia réfléchit un peu.
- Pauline ! dit elle ravie, pensant que cela lui ferait une petite vengeance sur son amie.
- Bien Pauline !
Le commandant se leva et approcha d'elle. Il lui tripota les fesses, les pétrissant, les massant sans douceur.
- Beau cul ! Ca donne envie ! J'en bande !
Alexia rougit.
- C'est pas gagné si tu rougis juste parce qu'on te tripote et que l'on te dit que tu fais bander !
- Excusez moi monsieur...
- Arrete de t'excuser, une pute ne s'excuse jamais ! Sauf si on la paie pour ça ! Tes seins !
Alexia ne réagit pas et se reçut une belle gifle. L'homme lui ouvrit la chemise et sortit ses seins de son soutien-gorge.
Après les avoir bien regardés, l'homme pressa ses seins, les souleva en les massant, lui prit les pointes en main et les fit
bouger dans tous les sens.
- Tu es trop top ! J'espère que cela passera quand même pour une pute de rue, tu es plutôt pute de luxe ! De grand luxe même !
- Merci monsieur.
Alexia devint encore plus rouge après ce traitement et cette répartie qui semblait etre un grand compliment dans la bouche de son supérieur.
- Bon on a quand même un gros problème avec toi, tu dois etre endurcie aux choses du sexe sinon dès demain soir ta couverture sera grillée !
A poil, je vais te trouver des vetements !
Alexia se dit qu'elle n'avait plus grand chose à lui cacher maintenant et se dénuda.
- Laisse tes chaussures ! Tiens mets ça !
Elle enfila une jupe courte et un top blanc moulant sans rien dessous.
- Parfait ! Allez, on y va !
- Où cela monsieur ?
- Tais-toi petite pute !
Il lui prit le bras et l'entraina hors du batiment. Ils cheminèrent ensemble jusqu'au fleuve. Alexia se sentit génée par sa jupe qui se souleva
à chaque coup de vent, dévoilant ses fesses à tout le monde.
L'homme l'entraina sur la berge, lui faisant dévaler les escaliers malgré ses hauts talons, la portant presque par moment.
- Allez on va sous le pont !
- Qu'allons nous faire ici monsieur ?
- Ah voilà un bateau, montre tes seins aux passagers ! dit le commandant ignorant sa question.
Comme Alexia tardait, une gifle vint ponctuer l'ordre.
- Montre tes nichons aux touristes ! Depeche toi ou je te fous à poil !
Effrayée Alexia remonta son top et exhiba bien ses seins en direction du bateau. Les flashs crépitèrent aussitôt ainsi que quelques hourras !
Alexia etait devenue rouge pivoine après le passage du bateau.
- Bien ! Tu es toujours aussi rouge mais tu deviens plus obeissante ! C'est déjà cela ! Il y en a un autre qui approche, tourne toi et
montre leur ton cul cette fois !
Alexia obéit résignée, se disant que là son visage ne sera pas sur les photos au moins ! Elle troussa sa petite jupe cul bien tendu,
les seins toujours à l'air. De nouveaux cris de joie lui parvinrent alors que les flashs éclairèrent le dessous du pont.
- Ne bouge pas ! Je m'en charge !
Alexia se demanda pourquoi son supérieur lui disait cela et tourna la tête, découvrant 2 agents de police qui venaient vers eux.
Le commandant sortit sa carte et s'avança vers eux.
- Mission spéciale de formation ! Interpol !
- Mes respects mon Commandant !
- Merci de surveiller les accès à la berge, que nous ne soyons pas interrompus !
- A vos ordres mon Commandant !
Les deux agents détaillèrent Alexia de la tête au pied avant de se décider à s'éloigner un peu pour garder l'accès au pont, un de
chaque coté.
Un nouveau bateau navigua plus près du quai pour offrir une meilleure vue sur la jeune exhibée, les cris de joie et les flashs
se manifestant à nouveau.
- Alors Pauline ! Cela va mieux ? Moins génée par la nudité en public ?
- Oui monsieur répondit elle moyennement convaincue.
- Ne t'inquiète pas, on va encore travailler cela un peu ! A poil !
- Pardon monsieur ?
Le bruit d'une nouvelle gifle qui décontenança Alexia résonna sous le pont, faisant se retourner les agents vers elle.
- A poil Pauline !
Alexia retira son top et sa jupe tres génée alors qu'un bateau de touristes assista à nouveau à cette scène.
Elle se retrouva nue offerte à la vue de tous et même les 2 agents mirent plusieurs minutes avant de se raisonner et se retourner devant
cette vision de rêve.
Le commandant G. émit un petit sifflement d'admiration.
- Pauline ! Je n'ai jamais vu jeune femme aussi belle que toi ! Il va falloir réclamer au dessus du tarif moyen, pour une telle marchandise!
Alexia rougit en entendant cela et baissa la tete.
- C'est combien Pauline ?
- Pardon monsieur ?
- C'est combien pour une pipe Pauline ?
- 50 monsieur !
- Pas donné ! T'es chère pour une pute !
- C'est de la bonne marchandise monsieur !
- Ouai t'as pas tort ! Et pour te baiser ?
- C'est 100 monsieur !
- Et pour t'enculer ? 200 ?
- Vous rigolez ! Pour cela c'est 500 ! Vous voyez pas le beau cul que j'ai !
- Sale pute !
- Non monsieur je suis très propre ! Si c'est trop cher pour vos moyens, voyez mes collègues !
- Bien Pauline ! Je vois que tu commences à te faire à ton rôle !
- Merci monsieur...
- A 4 pattes, face au fleuve !
- Monsieur ?
Une nouvelle gifle vint lui secouer la tête, lui arrachant une larme. Alexia se résigna à obéir sous les yeux des 2 agents qui se retournaient
à chaque bruit de gifle. Ils la virent ainsi s'humilier en se mettant à 4 pattes nue sous ce pont public.
Le commandant G. se délectait de la vue de la jeune femme dans cette position, le cul et la chatte bien ouverts sous ses yeux, ces petits
seins qui pendaient sous elle. Sa braguette faillit lacher sous la pression.
Il se rapprocha d'Alexia. Elle entendit inquiete un bruit de zip que l'on ouvre. Elle se crispa, se disant qu'il jouait avec ses nerfs.
Chose qu'il faisait un peu trop bien à son gout pensa Alexia alors qu'il s'agenouillait derrière elle lui écartant les jambes.
Elle poussa un cri d'effroi en sentant un gland tout chaud se frotter sur ses levres et se glisser entre elles.
- Qu'est ce que vous faites ! On doit juste simuler mon Commandant !
- Monsieur ! Pauline !
Elle vit 2 billets de 50 euros atterrir sous son nez et sentit la poussée de son chef en elle.
- Ah ! Que c'est bon !
Alexia n'eut pas le temps de réagir, son attention distraite par les billets et grimaça sous la poussée. L'homme la tenait par les hanches
et entama des mouvements lents et profonds en elle. Son sexe l'ouvrait terriblement. Elle le sentait énorme en elle. Pas très long mais
vraiment énorme. Un bateau passa, son pilote faisant retentir sa sirène pour saluer le couple. Alexia était horrifiée, prise face
au bateau, nue à 4 pattes comme une simple chienne, sous un pont en public !
C'était plus qu'elle n'osait imaginer dans ses fantasmes. La réalité venait de dépasser la fiction !
Devant tout ce vacarme, les 2 agents s'étaient retournés et regardaient Alexia en train de se faire baiser par son supérieur.
- Hummm c'est trop bon ! Tu es une sacrée pute Pauline !
Alexia baissa la tête, rabaissée, se sentant encore plus humiliée que le matin même avec ses parents. L'argent sous ses yeux semblait
la narguer en plus, comme si les billets lui criaient qu'elle était une putain.
Elle sentit l'homme jouir en elle et les giclés de sperme en elle déclenchèrent son orgasme.
- Qu'est ce que tu es bonne Pauline !
L'homme lui claqua le cul en disant cela, lui arrachant un gémissement de douleur et de plaisir. Elle avait terriblement honte après
avoir joui et repris ses esprits, toujours empalée sur la queue de son supérieur devant tout le monde.
Le bateau restait à leur hauteur, ayant coupé ses moteurs pour que ses occupants profitent bien du spectacle gratuit qui leur était
offert.
4 nouveaux billets vinrent danser devant les yeux d'Alexia qui poussa un cri de terreur.
- Ho non non ! Vous etes trop gros pour mon cul ! Ce n'est pas possible non !
- Un cul de pute, ça prend tout Pauline !
Il posa son gland sur son anus et poussa alors qu'Alexia protestait encore. Ses mains crispés sur les hanches de la jolie brune,
il donna un grand coup de reins, tout en la tirant sur son membre. Alexia hurla, ouverte sans aucun ménagement.
La matraque et la queue de son père lui parurent bien peu de chose à coté de cette queue qui la dilatait.
L'homme se redressa sur ses jambes pour se mettre accroupi derrière son cul et il la pilonna durement, la faisant pleurer.
Comme il venait de jouir, la pénétration dura bien plus longuement. Alexia sentait son anus en feu, son rectum meurtri par les coups
de queue en elle. Sa chatte était douloureuse, battue par les couilles de l'homme qui venaient la cogner à la fin de chaque poussée.
Il poussa enfin un long gémissement tout en jouissant au fond de son cul, se soulageant bien en elle.
- Que c'est bon un petit cul de pute ! Pauline, je crois que nous recommencerons cela !
Alexia se jurait intérieurement que non, gémissant de douleur lorsque l'homme sortit enfin d'elle.
Plusieurs bateaux faisaient maintenant la queue à proximité du pont pour admirer le couple.
Un nouveau billet de 50 euros vint s'ajouter aux autres devant Alexia. Elle soupira résignée, après tout, elle avait eu le temps de
s'habituer au gout de son cul avec la matraque et son père. Un de plus ou de moins...
L'homme la fit mettre de coté pour que tout le monde puisse continuer à la voir et lui presenta sa queue, agenouillé devant elle.
Elle s'applique et le lecha, le suça pour bien le nettoyer. Ne s'arretant qu'une fois le travail bien fait.
Le commandant satisfait se rhabilla tranquillement alors qu'elle restait nue à ses pieds.
- Tu feras une bonne pute Pauline !
- On avait dit 500 pour mon cul !
- Moi j'avais dit 200 !
- Oui mais c'est moi qui fixe les tarifs !
- Non la preuve ! Je l'ai eu pour 200 !
- Ce n'est pas juste !
- Tu as raison Pauline !
Le commandant ramassa l'argent sous son nez pour le ranger dans son portefeuille.
- Hé mais il est à moi cet argent !
- Allons Pauline ! On simulait ! Tu es en formation !
- Salaud !
- Tu veux passer en conseil de discipline pour injure envers ton supérieur ?
- Excusez moi mon Commandant !
Il se baissa et prit le top et la jupe sous son bras.
- On ne va pas jeter cela ! Ca peut resservir !
- Mais je ne vais pas rester toute nue monsieur ?
L'ignorant, le commandant se tourna vers les agents.
- Vous deux ! Embarquez moi cette pute et amenez au commissariat central ! A pieds, pas la peine d'appeler une voiture pour ça !
Une fois arrivé, demandez le Commandant G. à l'accueil !
- Oui mon Commandant ! dirent les deux agents avec un peu trop d'enthousiasme.
- Vous pouvez la tripoter mais interdit de jouer avec compris ! C'est un agent d'interpol, plus haut gradé que vous et en formation !
Ne l'oubliez pas !
- Bien mon Commandant ! le sourire disparaissant du visage des agents.
- Cependant vous pouvez la tripoter en chemin ! Ce n'est qu'une pute ! Mais l'éthique vous interdit des pratiques sexuelles avec elle !
- Oui mon Commandant ! C'est compris mon Commandant !
- Monsieur s'il vous plait !
- Quoi Pauline ?
- Vous ne pouvez pas faire ça !
- Mais si Pauline ! Allez embarquez moi cette pute au commissariat !
Le commandant abandonna les agents derrière lui pour rejoindre la route et héler un taxi pour s'en retourner à son bureau, sans un regard
en arrière.
A suivre...
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