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Review This Story || Author: French_Master

Alexia en mission

Part 7

Alexia en mission




Chapitre 7 : En formation






- Tes papiers salope !


- Mais vous voyez bien que je suis à poil ! Je ne peux pas les cacher !


- C'est la procédure ! Tu refuses de montrer tes papiers ?


- J'aimerais bien vous les montrer mais ils sont restés au commissariat !


- Bien sur ! Encore une histoire à dormir debout ! Ces putes, quelle imagination !


- Et tes vetements ! Ils sont où espèce de trainée ? ajouta le second agent.


- Mais vous avez bien vu ! Mon Commandant les a emmenés avec lui !


- Quel Commandant ?


- Mais l'homme qui vous a parlé ! Qui était avec moi !


- Tu as vu quelqu'un toi ?


- Juste le client qu'elle se faisait et qui s'est sauvé en lui filant du blé !


- Il est où d'ailleurs ce blé salope ?


- Mais vous etes cinglés ou quoi !


- Insulte à agent en service ! Tu aggraves ton cas !


- Racolage, exhibitionnisme, outrage à agent, on t'embarque !


- Ca ne va pas la tête ! Je suis toute nue !


- Pas notre problème !




L'un des agents menotta rapidement le poignet droit d'Alexia puis le lui tira dans le dos pour le menotter à son autre poignet.


La pauvre était privée ainsi d'une grande partie de son autonomie. Mais de toute façon, nue, elle n'avait pas du tout envie de


sortir de sous ce pont. Les bateaux de tourisme continuaient de passer en enchainant clameurs et flashs photos mais elle n'en avait


plus cure. Elle se rendit compte que son Commandant avait raison, elle en était au point où etre nue sous ce pont et photographiée


n'avait plus d'importance pour elle.




Les agents l'empoignèrent chacun par un bras pour la forcer à avancer et quitter la berge pour rejoindre la rue principale.


Il y eu un enchainement de coups de klaxon, crissements de pneus et un peu de tôle froissée. Tant qu'elle chemina sur le trottoir


de ce boulevard, la vision de cette superbe jeune femme nue provoqua un trouble énorme sur la circulation.


La honte s'était de nouveau emparée d'Alexia. Sous le pont obscur, elle se sentait un peu protégée, la proximité de la voute,


cela donnait un caractère plus intime, que cette rue bien dégagée.




Les passants croisés se rinçaient ouvertement l'oeil, certains prenaient des photos ou films avec leur téléphone.


L'humiliation était totale. Ce qui l'embetait le plus, c'était le croisement des familles. Elle se sentait encore plus mal à l'aise.




Devant l'ensemble des perturbations provoquées par la jeune femme, les agents se décidèrent à emprunter les petites rues.


Leur patron risquait de pousser une gueulante si le bilan accidentogène de leur équipée était trop lourd.


Après tout, ils s'amusaient aux dépends de leur jeune collègue, pour toute autre, ils se seraient débrouillés pour la couvrir


décemment avant de la ramener au poste. Mais pour une fois qu'ils avaient carte blanche ! Elle était trop jolie pour ne pas vouloir


prolonger ce moment le plus longtemps possible.




Ses petits seins ronds, bien fermes, aux jolis mamelons clairs, les pointes tendues, qui trahissaient le trouble de la jeune femme,


remuaient au rythme de leur promenade dans les rues. Son joli ventre plat qui se concluait par un triangle imberbe, avec ses levres


qui se découpaient à chaque pas accentuait le trouble des agents et des passants. La vision des petites fesses rondes, sans défaut,


provoquait cumulée à la perfection de l'ensemble de son corps faisait se tendre nombre de sexes. Voir tous ces pantalons enflés sur


le devant rendait la brunette confuse. Elle était désolée des scènes de ménage qu'elle provoquait sans le vouloir, quand les


conjointes de ses messieurs se rendaient compte de leur état et commençaient à déclencher un conflit en hurlant dans la rue et


en la traitant de salope, trainée, dégénérée, putain et autre nom doux...




Elle baissait maintenant la tête, fixant le sol du regard pour éviter de se rendre compte des troubles engendrés par elle.


Ce n'était pas sa faute mais malgré tout, elle se sentait coupable. Comment avait elle été entrainée là-dedans!


Est-ce que cela se passait toujours comme cela chez Interpol ?


Elle priait pour que l'arrivée au commissariat se produise le plus tôt possible, estimant qu'elle ne pouvait tomber plus bas.


Et pourtant, l'humiliation la pire se produisit à mi-chemin. Un hovawart se prit de passion pour elle.


Il commença par la suivre à 2 pas de distance ce qui était humiliant mais encore gérable. Malheureusement, rapidement, il se


rapprocha encore plus d'elle et se mit à lui laper les fesses chaque fois que possible.


Alexia poussait de petits cris d'horreur et faisait des petits bonds en avant à chaque contact avec la langue alors que les


2 agents étaient hilares ! Ils s'appliquèrent à lui faire prendre un rythme irrégulier, pour que le chien puisse la lécher de


façon régulière, sans pouvoir faire quoi que ce soit de plus !


Une fois arrivés au commissariat, ils firent sauver le chien, le remerciant de sa compagnie. Alexia souffla soulagée de regagner


enfin les locaux de la police.




Elle se retrouva comme quelques heures auparavant devant le bureau d'accueil mais cette fois nue et menottée.


Cela provoqua le sourire de l'agent d'accueil.




- Je le savais que c'était une pute ou une actrice porno ! Je l'avais bien vu ! Au premier regard je les repère ces petites salopes !


- On l'amène pour le Commandant G.


- Il a envie de se divertir ? Vous pouviez pas en trouver une habillée ?


- Non il ne veut que celle-là !


- Ouai ! Remarque, il a pas mauvais gout ! Elle est bien roulée cette putain !


- Plutôt ! Tu as vu ce cul ? dit l'un des agents en faisant se tourner Alexia.


- Je comprends qu'elle le fasse travailler ! Si j'en avais un comme ça...Commandant G. ? J'ai une pute à l'accueil pour vous ! Karine?


Ok je l'appelle ! Mes respects mon Commandant !


- T'as de la chance ma poulette ! Tu vas faire connaissance avec Karine ! Oui Karine ? J'ai eu le Commandant G. ! Oui elle vous attend à


l'accueil...Les gars, vous prenez votre trainée et vous l'amenez au premier, bureau de Karine, elle l'attendait !




Les agents empoignèrent de nouveau Alexia pour lui faire passer le portique. La sonnerie se déclencha aussitôt, provoquant l'attention


de tout le monde sur leur petit groupe. Personne n'ignorait plus la nudité d'Alexia dans ce grand hall. Elle rougit de nouveau à


l'extreme. Tous ses collègues étaient en train de la mater.




- Qu'est-ce que tu t'es enfilé dans le cul pour faire sonner le portique comme ça !


- C'est son stérilet dit un agent en riant !


- Elle n'est pas pluggée ?


- Elle s'est rentré un gode jusqu'aux amygdales !


- Enleve lui ses boules de geisha !


- Elle a peut etre un flingue caché dans le cul !


- C'est super jamie ! Elle a un cul bionique pour faire plus de passes à l'heure !




Les remarques les plus tordues fusaient pour se moquer d'elle. Ses gardes du corps la pousserent à grimper les escaliers rapidement, juste pour


s'amuser à nouveau à ses dépends, tout en criant :




- Rassurez-vous ! Elle part à la fouille !




Cela glaça aussitôt la jeune femme. Quelles horreurs allaient elle encore subir !


Ils la firent entrer dans un local tres spartiate, carrelages clairs, un bureau métallique dans un coin, de vieilles armoires en métal contre


un mur.


Une jeune femme brune comme elle mais toute frisée, de beaux yeux bleux qui la détaillèrent de la tête au pied se leva pour venir à sa


rencontre. Un peu plus grande qu'Alexia, elle était aussi mince avec une petite poitrine bien cachée derrière sa veste remarqua la


putain présumée, se disant qu'elle s'était vraiment bien faite rouler dans la farine avec l'uniforme qu'elle avait reçu!




- Voici la pute Karine !


- Je vois cela Messieurs ! Vous auriez pu me l'amener habillée ! J'adore les voir faire un strip devant moi ces salopes !


- Elle tapinait à poil ! Ce sera pour une autre fois !


- C'est sur ! Elle est loin de la retraite ! On la ramassera forcément encore !




Les 3 agents se mirent à rire ! L'un d'eux défit les menottes d'Alexia pour les ranger et la laisser seule avec Karine.




- Ne t'inquiète pas, le Commandant G. m'a mise au courant !


- Ouf cela me rassure !


- Oui il m'a dit que tu étais une petite trainée qui commençait à tapiner dans le coin et que je ne devais te ménager en rien !




Karine souriait à pleines dents, les yeux pétillants de joie à l'idée de pouvoir disposer d'une petite victime à sa guise.


Elle sortit une matraque électrique de son bureau.




- Tu vois ceci ? Quand j'appuie sur le bouton, ca lance de petits éclairs et ca grésille dans l'air ! Tu imagines si je fais cela


au contact de ta chatte ? Ou encore après l'avoir rentrée au fond de ta chatte ! Un joli petit choc électrique pour te masser l'utérus !


Et imagine sur ces jolies petites pointes de seins ! Ou bien au fond de ta gorge !




Karine frétillait et frémissait de plaisir. Elle semblait transfigurée lorsqu'elle évoquait cela et Alexia se dit aussitôt qu'il ne


lui faudrait que le début du début d'un prétexte pour qu'elle passe à l'acte.




- Ce que je préfère, c'est quand je l'active contre l'anus et que je ne lache pas le bouton tout le long de la pénétration !


Un vrai bonheur ! Cela génère des notes très aigues chez ces demoiselles !




Alexia tremblait de peur devant l'agent. Elle n'osa pas rappeler qu'elle était un agent, se disant que Karine devait attendre cela


pour la cuisiner méchamment. Elle avait failli faire pipi sous elle en écoutant Karine et en voyant les éclairs bleus de la matraque


sous son nez.




Karine approcha d'elle et lui écrasa durement les tétons entre ses doigts. Alexia se retint de hurler et baissa les yeux vers le sol


pour ne pas que son regard puisse etre pris pour une provocation. Karine semblait bien trop dangereuse.




- Bien ! Je crois que l'on va bien s'entendre toutes les deux !




Elle lui tapota les seins par le dessous.




- Moins beaux que les miens mais pas trop mal ! Et des vrais pas retouchés, c'est rare pour une pute comme toi !




Alexia ne dit mot, se laissant humilier et rabaisser.




- Ecarte tes jambes !




Alexia s'empressa d'obéir soumise, laissant libre accès à Karine à son sexe.




- C'est une mode ou quoi ?!? Pourquoi est-ce que toutes les putes se font épiler la foufoune ?




Alexia s'abstint de répondre, se disant que Karine se parlait plus à elle-même qu'à elle.


Elle sentit les doigts de l'agent lui ouvrir les lèvres et chercher son clitoris. Elle semblait tres habile, le libérant rapidement des


replis et le pinçant durement en le vrillant un peu.


Alexia hurla prise de court, la douleur trop fulgurante et intense pour etre maitrisée mentalement. Elle sentit ses jambes l'abandonner


et Karine relacha alors sa prise, la giflant pour qu'elle se reprenne et se redresse.


Alexia vit que Karine se frottait les doigts ébahie.




- Qu'est ce que c'est ? Putain ! Du sperme ! Tu baises sans préservatif ! Tu es ce genre de salope ! C'est pas possible ! T'es félée !




Elle prit Alexia par les cheveux pour aller la plaquer contre son bureau, debout penchée en avant, les seins sur le plateau de métal froid.


Un bruit de tiroir, que l'on ouvre et reclaque, attira l'attention d'Alexia. Elle releva discretement les yeux et vit Karine qui se mettait


une paire de gant en latex.


Elle gémit de douleur alors que les doigts lui ouvraient le vagin pour la fouiller jusqu'au col.




- T'es pleine de sperme sale trainée !




Elle remonta sur les fesses pour toucher l'anus d'Alexia.




- C'est humide ! Qu'est ce que c'est que ça !




Karine porta les doigts près de son nez. Pas du sperme se dit elle. Elle mit ses doigts sous le nez d'Alexia.




- C'est quoi ça ! Tu réponds trainée ou c'est la matraque !


- De la salive !


- Sergent !


- De la salive Sergent !


- Tu t'es fait léchée le cul par un client ?


- Non Sergent !


- Ce n'est pas l'un de ces deux salopards d'agent au moins ! Tu me le dis et ils sont cassés tout de suite si c'est ça !


- Non non Sergent !


- Alors !


- C'est de la salive de chien Sergent !




Alexia hurla de douleur. Karine écoeurée n'avait pu se retenir de lui donner un coup de matraque électrique sur l'anus.




- Mais t'es tarée ou quoi ! Tu es en formation pute ! Il n'y a pas de pute à ma connaissance dans cette ville qui se fait lécher le cul


par un chien ! T'es pire que toutes les putes réunies ou quoi ? Qu'est ce qui ne va pas chez toi ?


- Je ne voulais pas Sergent ! C'est sur le chemin, un chien qui nous suivait !


- Putain ! Ils vont m'entendre les 2 salauds qui t'ont amenée ! Ils n'avaient pas le droit !




Alexia était en larmes, humiliée et meurtrie, toujours plaquée sur le bureau, cul en l'air.




- Ca me dégoutte mais faut que je regarde !




Karine glissa 2 doigts dans le cul d'Alexia sans ménagement. Elle les vrilla, les ouvrit dans son cul puis les retira.




- T'es une sacrée gourmande ! T'as le cul plein de sperme aussi ! Je ne sais pas où il t'a trouvée le Commandant mais tu mérites bien


le job ! Jamais vu ça de ma vie jusqu'ici ! Du sperme dans la chatte et le cul et l'anus plein de salive de clebs ! Bravo !


Pourtant j'en ai vu défiler des putes ! Tu es en tête du classement alors que tu n'as même pas encore commencé !


Bon allez tu m'ecoeures trop !




Karine prit Alexia par les cheveux et la traina hors de son bureau jusqu'aux douches.


Elle ouvrit une cabine et la propulsa dedans, Alexia heurta le mur du fond et en resta à moitié sonnée.


Le sergent prit la douchette et ouvrit l'eau froide.




- Penche toi et cul vers moi salope !




Alexia obéit tremblante de froid. Elle rala de douleur, Karine forçant le pommeau de douche dans son anus pour y laisser l'eau la remplir.


Elle tourna l'engin dans son cul, le laissant quelques instants pour bien l'emplir d'eau.


D'un geste sec reprovoquant les pleurs d'Alexia, elle sortit le pommeau du cul plein d'eau pour l'enfoncer dans le vagin de la pauvrette.


L'eau et le sperme coulèrent dans la cuvette de douche, Alexia toujours aussi glacée par l'eau en elle était sous le choc.


Le pommeau de douche sortit enfin également de son vagin, la soulageant un peu.




- Allez ! Pousse ! Il faut que tout ce que je t'ai mis dans le cul en ressorte maintenant !




Humiliée Alexia essaya d'oublier qu'elle était pliée en deux, l'anus bien exhibé et qu'elle devait se soulager devant une de ses collègues.


Pas du tout habituée à la position, elle mit un petit instant avant de réussir à libérer un petit jet d'eau souillée.




- Beurk ! C'est dégueulasse ! Allez dépeche toi ! je déteste ça !




Alexia parvint à liberer un deuxième puis un troisième jet et enfin son anus se décontracta. L'eau sortait de son cul, mélée d'excréments,


le sperme non visible mélé à tout cela.


Karine arrosait la raie d'Alexia d'eau froide en permanence pour la nettoyer au fur et à mesure.


Enfin, Alexia sentit que son cul était vide. Quelques derniers coups de jet suffirent à nettoyer le cul de la brunette puis le bac recepteur.


Elle se sentit extraite à nouveau violemment de la douche, tenue par les cheveux, dégoulinante d'eau.




Karine la traina ainsi jusqu'une grande cellule et la projeta nue au milieu. Alexia vit horrifiée qu'il y avait 3 hommes dans la cellule.


Elle avait fait exprès de ne pas la mettre dans la cellule femme. Karine pointa le mur du doigt.




- Face au mur debout mains sur la tete et jambes écartées, comme cela tu pourras sécher un peu !




Alexia n'osa pas désobéir, se disant que c'etait pire que le tableau noir qu'elle avait imaginé en cours le matin meme.




- Vous autres, le premier qui approche d'elle, je lui grille les couilles ! Compris ! dit Karine faisant une démonstration des pouvoirs de


sa matraque électriques aux occupants de la cellule.




Les hommes n'osèrent rien dire et baissèrent la tête, impressionnés par la démonstration. Le spectacle plaisant qui leur était offert


leur semblait déjà inespéré, pas besoin de se risquer à plus que de violer cette putain des yeux.


Karine s'installa sur une chaise en face de la cellule pour surveiller tout ce petit monde.


Alexia sentait tous les regards posés sur ses fesses, la fouillant pour essayer de mieux voir son anus et sa chatte. Les occupants de la


cellule commençaient à se contorsionner pour mieux voir, faisant le bonheur de Karine.




- Cambre toi la pute ! Tu as des spectateurs !




Alexia n'osa pas désobeir et se cambra pour mieux s'ouvrir à la vue des autres, qui avaient du mal à croire leur chance. Une pin-up de


magazine qui se tortillait sous leurs yeux ! Rien que pour eux ! Karine riait de la voir ainsi ouverte et son regard se promenait


sur les braguettes déformées des occupants de la cellule.




Après une bonne demi-heure de détention, Karine sortit Alexia de la cellule en la trainant de nouveau par les cheveux et la traina au


bureau du Commandant G., traversant presque tous les étages pour exhiber sa prise, prenant le trajet des écoliers...




Satisfaite, elle propulsa Alexia dans le bureau du Commandant après avoir eu l'autorisation d'entrer.




- Voici votre putain mon Commandant !


- Merci Sergent ! Vous pouvez disposer !


- Oui mon Commandant !




L'homme se leva pour approcher d'Alexia et la prendre dans ses bras. Surprise Alexia se laissa caliner par cet amant imprévu et non


désiré de l'après-midi. Ses sentiments étaient confus, tout était trop rapide pour elle, et trop de choses lui arrivaient d'un coup!




- Ca va Pauline ? Tu n'as pas été brutalisée ?




Alexia rougit. Le Commandant calinait la pute qu'elle était.




- Non monsieur ! Cela a été !


- On va voir cela ! Penche toi sur mon bureau cul en l'air !


- Oui monsieur.


- Dépeche toi ! Une petite pute comme toi a l'habitude d'avoir le cul en l'air ! Enfin tu dois etre plus habituée à ce que ce soit


devant plusieurs personnes que devant une seule !




Humiliée Alexia se pencha et s'offrit à la vue de son supérieur. Elle sentit qu'il lui ouvrait le vagin d'un doigté ferme.




- Encore trop de zèle ! Cette Karine ! Elle t'a douchée ?


- Oui monsieur.


- Y compris l'intérieur du cul ?


- Oui monsieur.




Alexia était de nouveau pivoine. Cet homme avait le don pour la rabaisser en quelques secondes.




- Heureusement que je ne résiste pas à la vue de ton cul !




Elle sentit des mains qui se posaient sur ses hanches et se dit qu'il n'allait quand même pas oser faire ça à nouveau et dans son bureau !


La poussée la projeta en avant, la plaquant sur le bureau. Le gros sexe du Commandant était en train de lui ouvrir de nouveau le vagin.


Il remua doucement en elle, profitant bien des sensations, ne cherchant pas cette fois à la rabaisser comme dans l'après-midi.


Alexia malgré tout était tres mal à l'aise. Elle était en train de se faire baiser par son supérieur sans raison. Pourquoi la prenait il?


L'apres-midi, c'était pour l'humilier publiquement et l'habituer à etre prise en public mais là ! Quelle justification ?


La grosse queue l'ouvrait tres fortement et massait l'entrée tres sensible de son vagin, la faisant gémir de plaisir malgré elle.


Après quelques minutes, ils jouirent ensemble et l'homme se pencha sur elle pour reprendre son souffle, allongé sur elle.




- Pourquoi m'avez vous prise mon Commandant?


- Pour le plaisir Alexia !


- Mais vous n'avez pas le droit !


- La preuve que si ! Tu as refusé ? Tu n'as pas aimée ? Tu n'as pas joui !




Alexia resta sans voix, ébahie.




- Tu as de la chance que je ne sois plus un jeune homme, sinon je t'aurai de nouveau enculée pour que tu ais mon sperme dans le vagin


et le cul à la fois comme cette après-midi !


- C'est du harcèlement sexuel tout cela non ?


- Non tu n'es pas harcelée mais baisée !




L'homme sortit sa queue d'elle.




- 3 fois en si peu de temps, cela fait longtemps que je n'avais pas baisé autant !


- Vous etes un beau salaud oui !


- Aussi mais toi tu es une pute ne l'oublie pas !




Il ouvrit sa porte et cria après un agent.




- Emportez-moi ça pour les séances d'identification !


- Tout de suite mon Commandant ! A poil ?


- Oui oui à poil ! C'est une pute ! Cela ne lui fait rien !




Le Commandant lui fila une grosse claque sur les fesses et Alexia se vit emmener pour les 2 séances d'identification de suspects par


des témoins, seule à etre nue au milieu des autres personnes soumises à identification, et sentant le sperme qui coulait entre ses


cuisses, ayant l'impression justifiée que tout le monde ne regardait qu'elle.






A suivre...




Si vous aimez mes histoires, écrivez moi French_Master@hotmail.fr
















 



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